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vendredi 19 juin 2009

RQ-11 Raven...un drone entre un easystar et un twinstar.




Avec un cout de plus de 25000 $ il n'est pas donné.... mais peut voler de façon autonome ou être piloté.
il est électrique et son autonomie est d'environ 80 min ( 1h20...quand même).
la description ci dessous et photo viennent de WIKIPEDIA :

Le RQ-11 Raven (En anglais, raven=corbeau) est un drone de combat léger utilisé par l'U.S. Army et certains de ses alliés. Il est construit par la société AeroVironment.

L'avion est lancé à la main et propulsé ensuite par un moteur électrique. Il peut voler jusqu'à 95 km/h maxi pendant 80 mn sur un rayon d'action de 10 km, à une hauteur de 300m, et une altitude maxi de 5.000 m.

Conception [modifier]

Le Raven a été développé comme version de taille réduite du drone Pointer du même constructeur AeroVironment. Il est équipé de batteries rechargeables. L'équipement nécessaire pour 4 missions peut être transporté par un soldat en plus de son équipement standard, alors que le Pointeur nécessitait un véhicule du genre Hummer.

Le Raven peut être radio commandé depuis le sol ou voler totalement en autonome avec une trajectoire prédéfinie suivie par GPS. Ses missions sont l'observation avec des caméras variées, optiques ou thermiques.

L'appareil coute 25.000$ et le système total incluant le guidage 250.000$ [1]

Le Raven est utilisé par l'U.S. Army, l'U.S. Air Force, le corps des Marines U.S., le commandement des opérations spéciales U.S. Ainsi que par le Royaume-Uni, l'Australie, l'Italie, le Danemark et l'Espagne. Début 2008, 8.000 exemplaires ont déjà été livrés en faisant le drone de combat le plus utilisé. Il devrait être aussi utilisé par les Pays-Bas et le Liban.



et aussi :

les drones http://fr.wikipedia.org/wiki/Drone

les micro-drones http://fr.wikipedia.org/wiki/Micro-drone

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Droits : Copyright Ministère de la Défense
http://www.defense.gouv.fr/dga/les_micro-drones_sortent_de_leur_chrysalide

Les 15, 16 et 17 septembre 2004, deux écoles sous tutelle de la délégation générale pour l'armement (DGA), l'école nationale supérieure d'ingénieurs de construction aéronautiques (Ensica) et Supaero ont organisé un colloque et un trophée micro-drones. Occasion pour le jury du concours de micro-drones DGA/Onera de venir faire un état des lieux des avancées des concurrents à quelques mois des épreuves finales. Envolées vers une grande aventure humaine et technologique.

Le quadrirotor X4

Avec 230 participants venus de toute l'Europe, mais aussi des Etats-Unis, d'Australie et du Japon, le quatrième trophée micro-drones témoigne de son succès. Engouement pour les micro et nano technologies, amour de la modélisation, soif d'innovations, les motivations des participants sont aussi diverses que les horizons dont ils viennent. " Etudiants, chercheurs, industriels ou amateurs passionnés, tous ont fait le déplacement jusqu'au coeur du midi toulousain pour assister à des conférences animées par des spécialistes, rencontrer d'autres amateurs de mini-drones mais surtout faire voler leurs engins " explique Sylvie Gay chargée de communication à l'Ensica.

L'après-midi du jeudi, les concurrents se retrouvent dans le gymnase de Supaero pour faire évoluer leurs drones indoor (à l'intérieur). Là, dans une ambiance de concours, tous s'affairent, l'air sérieux, aux derniers préparatifs avant l'épreuve. Au fil des ateliers, les mini-drones prennent des formes de plus en plus inattendues. Si certains se rapprochent du modélisme, d'autres étonnent par leur originalité. Les uns sont munis de deux rotors comme ceux de l'équipe du professeur Lozano qui participe également au concours micro-drones DGA/Onera, mais d'autres ont pris pour modèle la nature. Les Cui-Cui ou Mini Cui-Cui troublent le spectateur par leur imitation quasi-parfaite du battement d'aile d'un oiseau. Soucoupes, minis ULM ou avions, oiseaux artificiels passent dans les mains du jury qui vérifie leurs caractéristiques (poids, taille). Mais seuls les appareils embarquant de la vidéo et de l'électronique peuvent participer au trophée.

L'épreuve commence. Les drones devront filmer l'intérieur de deux boîtes (un alphabet d'opticien) accrochées à quelques mètres du sol.

Le premier concurrent présente une soucoupe volante translucide. Le décollage est poussif, l'atterrissage forcé ne se fait pas attendre : les concurrents repasseront après quelques réglages nécessaires. Un autre drone élaboré par le dernier gagnant du trophée, se crashe lamentablement sur la paroi du gymnase. " J'ai voulu innover et développer un appareil pouvant faire du vol vertical, mais c'est une technique extrêmement difficile à maîtriser ", conclut, très fair-play, son concepteur, Sébastien Gravit. Après un démarrage chaotique, le spectateur assiste à une ronde captivante de technologies et d'innovations. Les drones décollent verticalement et effectuent un vol stationnaire de quelques secondes. Le temps est suspendu à leurs gracieuses déambulations. Le jury suit en temps réel sur une télévision les images filmées par les engins. Mais pour remporter le titre, il reste l'épreuve en extérieur du lendemain.

Une fois le concours terminé, toutes les démonstrations sont permises. Ainsi, le Cui-Cui volette, le plus petit biplan existant plane avec douceur ; mais le plus impressionnant est le travail de Peter Muren, industriel norvégien. Mosquito, nom du drone, vient d'ailleurs d'être commercialisé aux Etats-Unis pour le prix modique de 70 dollars ! Equipé de deux rotors superposés, il est très facilement manoeuvrable, peut faire du vol stationnaire, embarque une caméra et pèse à peine 110 grammes. Avec la même architecture, le plus spectaculaire est son NanoFlyer, qui tient dans la main, pèse à peine 2,7 g et se dirige grâce au laser.

A l'heure où les Japonais travaillent sur des blattes qui embarquent de l'électronique, la DGA quant à elle, conceptualise une mouche artificielle...

Fabienne Pinel


Droits : Copyright Ministère de la Défense

Le nanoflyer pése 2,7 grammes et tient dans la paume d'une main
Le Mosquito lors de l'épreuve indoor en vol stationnaire


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